17. Grand Remplacement et individualisme
Certains « fact-checkeurs » et autres « zététiciens » ne manqueront pas d’affirmer que l’individualisme ne s’accompagne pas toujours d’une baisse de natalité. Pour ce faire, ils s’empresseront de démontrer que le nombre d’enfants par femme n’a pas diminué en Occident sans discontinuité depuis 1945, alors que l’individualisme n’a pas cessé depuis de s’y développer.
Ils n’ont pas tort. On constate en effet qu’un sursaut nataliste a bien eu lieu sur notre sol entre le début des années 1990 et le début des années 2010. Il n’est cependant pas question d’en attribuer le mérite aux populations françaises de souche. En fait, ces statistiques sont largement rehaussées par des naissances d’origine étrangère[1]. En 2015, celles-ci représentaient déjà près de 40 % du total des naissances à Strasbourg. Dans le secteur de Drancy, La Courneuve, d’Aubervilliers et de Bobigny, ce taux avoisine les 78 %. On peut donc affirmer que les populations qui font le plus d’enfants sont aussi celles qui sont le plus émancipées des valeurs progressistes du monde moderne. Elles sont de culture afro-musulmane dans la plupart des cas, et sont de ce fait plus favorables que nous à la famille.
Dans cette affaire, le facteur social à la française ne saurait être négligé. Évidemment, celui-ci renforce la natalité des africains sur notre sol, qui trouvent à nos côtés suffisamment d’aides pour conserver un niveau de vie équivalent à celui de leur pays d’origine sans même avoir besoin de travailler[2]. La démographie de ces peuples est particulièrement coûteuse pour les Européens, d’autant que la culture de ces populations s’accommode assez peu de notre identité. Cette situation crée de nombreux déséquilibres dont je parlerai plus tard.
Ce chapitre est extrait d’un ouvrage intitulé 01-Tradition : Echapper à la catastrophe sociale, écologique et migratoire.
Commander cet ouvrage sur 01-tradition.fr ou sur Amazon.
[1] https://francestrategie.shinyapps.io/app_seg/
[2] En 2022, près de 50 % des immigrés extra-européens en âge de travailler étaient inactifs selon l’INSEE.